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Analyse prospective de l’impact de l’intelligence artificielle sur le management des collaborateurs dans les entreprises romandes à l’horizon 2040
SONAR|HES-SO
- Müller, Elian
- Junod Berger, Nathalie (Degree supervisor)
- Genève : Haute école de gestion de Genève
183 p.
Master of Science HES-SO en Business Administration: Haute école de gestion de Genève, 2022
French
Cette étude vise à fournir des recommandations pour aider les organisations à conscientiser ce que représente l’implémentation d’une intelligence artificielle au sein d’une organisation. L’intelligence artificielle se développe rapidement et sera probablement utilisée dans la gestion les collaborateurs en 2040 par les PME. L’intelligence artificielle pourrait devenir indispensable pour que les entreprises romandes restent compétitives à moyen terme face à leurs concurrents. Aujourd’hui, les premières applications dans la gestion du personnel sont utilisées comme le recrutement numérique ou la gestion automatique de certaines tâches répétitives. Toutefois, l’intelligence artificielle soulève beaucoup d’inquiétudes de la part des collaborateurs comme perdre son emploi ou être soumis à une surveillance perpétuelle. L’avenir et le développement de l’intelligence artificielle sont encore incertains.
Cette technologie effraye encore une partie de la population, il est important de considérer ce facteur dans le calcul du retour sur investissement, car cette crainte pourrait engendrer de la résistance ou impacter le chiffre d’affaires. L’impact écologique important de l’utilisation de l’IA influence négativement l’empreinte carbone de l’entreprise. Toutefois, dans certains cas, son utilisation pour optimiser des processus peut compenser la pollution engendrée en diminuant le gaspillage.
Implémenter une intelligence artificielle au sein d’une organisation représente un processus long, coûteux et nécessitant une analyse pointue. Il est important que les PME réalisent l’investissement nécessaire pour identifier si l’utilisation de l’intelligence artificielle contribue à l’amélioration du travail et de la rentabilité. La formation des collaborateurs et la participation active des parties prenantes au processus constituent deux aspects cruciaux pour réussir l’implémentation d’une intelligence artificielle. Le retour sur investissement n’est pas garanti et dépend de facteurs internes comme externes. Les organisations ont intérêt à bien se renseigner et calculer leur retour sur investissement avant de démarrer un projet d’implémentation d’une intelligence artificielle. Cette technologie peut engendrer un bénéfice comme devenir une importante charge mettant en difficulté l’entreprise.
Les études existantes démontrent comment une intelligence artificielle peut effectuer des tâches dans une organisation classique, mais l’utilisation de l’intelligence artificielle dans une organisation partagée constitue un sujet peu étudié actuellement. L’abandon des structures hiérarchiques au profit de structure cellulaire et le développement de l’utilisation de l’intelligence artificielle semblent évoluer de manière dichotomique. L’évolution du management encourage la confiance et l’abolition des contrôles tandis que l’intelligence artificielle nécessite de collecter des données sur les collaborateurs et le contrôle pour optimiser le travail. Toutefois, des applications et approches de l’intelligence artificielle pour les organisations partagées sont possibles et deviendront très utiles dans un futur proche pour gérer la complexité des individualités dans le but d’atteindre un objectif commun.
En 2040, l’organisation des entreprises différera d’aujourd’hui, les entreprises auront adopté des modèles plus participatifs pour améliorer leur flexibilité face aux imprévus et répondre aux nouveaux besoins des collaborateurs. L’intelligence artificielle permettra de gérer la complexité du management des collaborateurs. Les dérives existeront et l’utilisation malveillante de l’intelligence artificielle aura des conséquences importantes. Les PME en Suisse romande pourront facilement utiliser cette technologie soit en l’implémentant directement en interne soit en sous-traitant la gestion des données. L’utilisation de l’intelligence artificielle coûtera toujours cher et nécessitera encore des ajustements réguliers, mais il sera plus facile de la développer, car une part importante de la population aura acquis les compétences nécessaires au traitement et à la gestion de l’intelligence artificielle.
Cette technologie effraye encore une partie de la population, il est important de considérer ce facteur dans le calcul du retour sur investissement, car cette crainte pourrait engendrer de la résistance ou impacter le chiffre d’affaires. L’impact écologique important de l’utilisation de l’IA influence négativement l’empreinte carbone de l’entreprise. Toutefois, dans certains cas, son utilisation pour optimiser des processus peut compenser la pollution engendrée en diminuant le gaspillage.
Implémenter une intelligence artificielle au sein d’une organisation représente un processus long, coûteux et nécessitant une analyse pointue. Il est important que les PME réalisent l’investissement nécessaire pour identifier si l’utilisation de l’intelligence artificielle contribue à l’amélioration du travail et de la rentabilité. La formation des collaborateurs et la participation active des parties prenantes au processus constituent deux aspects cruciaux pour réussir l’implémentation d’une intelligence artificielle. Le retour sur investissement n’est pas garanti et dépend de facteurs internes comme externes. Les organisations ont intérêt à bien se renseigner et calculer leur retour sur investissement avant de démarrer un projet d’implémentation d’une intelligence artificielle. Cette technologie peut engendrer un bénéfice comme devenir une importante charge mettant en difficulté l’entreprise.
Les études existantes démontrent comment une intelligence artificielle peut effectuer des tâches dans une organisation classique, mais l’utilisation de l’intelligence artificielle dans une organisation partagée constitue un sujet peu étudié actuellement. L’abandon des structures hiérarchiques au profit de structure cellulaire et le développement de l’utilisation de l’intelligence artificielle semblent évoluer de manière dichotomique. L’évolution du management encourage la confiance et l’abolition des contrôles tandis que l’intelligence artificielle nécessite de collecter des données sur les collaborateurs et le contrôle pour optimiser le travail. Toutefois, des applications et approches de l’intelligence artificielle pour les organisations partagées sont possibles et deviendront très utiles dans un futur proche pour gérer la complexité des individualités dans le but d’atteindre un objectif commun.
En 2040, l’organisation des entreprises différera d’aujourd’hui, les entreprises auront adopté des modèles plus participatifs pour améliorer leur flexibilité face aux imprévus et répondre aux nouveaux besoins des collaborateurs. L’intelligence artificielle permettra de gérer la complexité du management des collaborateurs. Les dérives existeront et l’utilisation malveillante de l’intelligence artificielle aura des conséquences importantes. Les PME en Suisse romande pourront facilement utiliser cette technologie soit en l’implémentant directement en interne soit en sous-traitant la gestion des données. L’utilisation de l’intelligence artificielle coûtera toujours cher et nécessitera encore des ajustements réguliers, mais il sera plus facile de la développer, car une part importante de la population aura acquis les compétences nécessaires au traitement et à la gestion de l’intelligence artificielle.
- Language
-
- French
- Classification
- Economics
- Notes
-
- Haute école de gestion de Genève
- MScBA : orientation Prospective
- hesso:hegge
- Persistent URL
- https://sonar.ch/global/documents/321182
Statistics
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- MScBA_TM_Elian Müller (2).pdf: 643