-pdf.jpg)
La certification des montres via la blockchain pour lutter contre la contrefaçon dans le secteur horloger suisse
SONAR|HES-SO
- Dos Santos, Dylan
- Cheikhrouhou, Naoufel (Degree supervisor)
- Genève : Haute école de gestion de Genève
84 p.
Bachelor of Science HES-SO en Economie d’entreprise: Haute école de gestion de Genève, 2023
French
L’objectif de ce travail est de pouvoir comprendre ce qu’implique, en termes économiques, environnementaux et sociaux, l’utilisation de la blockchain pour certifier les montres. De plus, il est important de savoir si son utilisation est vraiment pertinente dans le cadre de la lutte contre la contrefaçon.
Durant la première partie du travail, nous étudions les différents impacts liés à la contrefaçon dans le secteur horloger, la provenance des fausses montres et nous émettons certaines hypothèses sur les raisons de ces contrefaçons.
Puis nous avons réalisé une analyse macro et micro environnementale de l’utilisation de cette technologie. Nous avons mis en évidence plusieurs forces et faiblesses, ainsi que les menaces et opportunités de la blockchain.
Ensuite, nous avons calculé les coûts d’une certification fictive et les coûts d’une certification réalisée par la marque Bvlgari sur deux blockchains différentes : Ethereum et Polygon.
En parallèle, nous avons estimé l’impact environnemental de la création d’un certificat et conclu que l’utilisation de la blockchain Polygon serait plus favorable en termes de coûts, mais également sur le plan environnemental.
Nous avons émis ensuite des hypothèses sur l’impact social que pourrait avoir l’utilisation de la blockchain comme outil de certification pour les montres.
Pour terminer, nous avons utilisé un schéma décisionnel afin de vérifier si l’utilisation de la blockchain est réellement nécessaire pour la certification des montres. Nous en avons déduit que son utilisation n’est pas concrètement indispensable, mais qu’elle permettrait d’apporter une sécurité supplémentaire vis-à-vis à des certifications de type papier et digitales.
Durant la première partie du travail, nous étudions les différents impacts liés à la contrefaçon dans le secteur horloger, la provenance des fausses montres et nous émettons certaines hypothèses sur les raisons de ces contrefaçons.
Puis nous avons réalisé une analyse macro et micro environnementale de l’utilisation de cette technologie. Nous avons mis en évidence plusieurs forces et faiblesses, ainsi que les menaces et opportunités de la blockchain.
Ensuite, nous avons calculé les coûts d’une certification fictive et les coûts d’une certification réalisée par la marque Bvlgari sur deux blockchains différentes : Ethereum et Polygon.
En parallèle, nous avons estimé l’impact environnemental de la création d’un certificat et conclu que l’utilisation de la blockchain Polygon serait plus favorable en termes de coûts, mais également sur le plan environnemental.
Nous avons émis ensuite des hypothèses sur l’impact social que pourrait avoir l’utilisation de la blockchain comme outil de certification pour les montres.
Pour terminer, nous avons utilisé un schéma décisionnel afin de vérifier si l’utilisation de la blockchain est réellement nécessaire pour la certification des montres. Nous en avons déduit que son utilisation n’est pas concrètement indispensable, mais qu’elle permettrait d’apporter une sécurité supplémentaire vis-à-vis à des certifications de type papier et digitales.
- Language
-
- French
- Classification
- Economics
- Notes
-
- Haute école de gestion de Genève
- Economie d'entreprise
- hesso:hegge
- Persistent URL
- https://sonar.ch/global/documents/328576
Statistics
Document views: 83
File downloads:
- DOSSANTOS-DYLAN-FINAL-SEPTEMBRE (2).pdf: 113