Analyse du processus de prescription médicale en vue d’une optimisation avec la technologie blockchain
SONAR|HES-SO
- Porchet, Thomas
- Hachen, Christoph (Degree supervisor)
- Genève : Haute école de gestion de Genève
69 p.
Bachelor of Science HES-SO en Economie d'entreprise: Haute école de gestion de Genève, 2023
French
La Suisse est un pays rempli de ressources. Elle se démarque dans de nombreux domaines apparaissant parfois dans les pôles positions de classement mondiaux. Toutefois, nul n’est parfait et la Suisse ne déroge pas à la règle.
Ces dernières années la Suisse s’est vue pointée du doigt en raison de son profond retard dans la numérisation de son système de santé. Ce retard donne lieu à de multiple complications dans l’exercice de la profession de santé. En outre, s’ajoute la vulnérabilité de la santé des patients face à ce retard. L’exposition des données aux attaques informatiques, la faible interopérabilité entre les acteurs, n’en sont que quelques exemples.
L’analyse révèle ce retard à différentes étapes du processus. Bien qu’il existe actuellement diverses solutions permettant de faciliter ou résoudre certains de ces problèmes, ces solutions ne semblent pas être totalement opérationnelles ou exploitées par les pharmacies et autres acteurs de la santé.
De surcroît, le résultat de l’analyse démontre que les caractéristiques inhérentes à la blockchain permettent de résoudre et améliorer dans une certaine mesure les problématiques rencontrées dans le processus. Toutefois, compte tenu des infrastructures actuelles, pour déterminer si la solution est adaptée, il convient également de déterminer si la blockchain passe outre les problématiques rencontré par les autres solutions proposées. Il en résulte que la mise en place d’une infrastructure individuelle reposant sur la blockchain, amènerait probablement de nouveaux problèmes juridiques, opérationnel et organisationnelle.
L’étude conclue que la technologie blockchain est un atout qu’il convient d’exploiter. Cette recommandation est motivée par le besoin d’une infrastructure offrant des caractéristiques précise auxquelles la blockchain est en mesure de répondre. L’analyse laisse également penser que la meilleure stratégie est d’améliorer le DEP et d’y intégrer des fonctionnalités qui exploitent la blockchain. C’est ainsi que la technologie blockchain permettra d’améliorer plus ou moins directement le processus de prescription médicale, et qu’une infrastructure commune rendra possible un processus simple et numérisé à la portée de tous les acteurs.
Ces dernières années la Suisse s’est vue pointée du doigt en raison de son profond retard dans la numérisation de son système de santé. Ce retard donne lieu à de multiple complications dans l’exercice de la profession de santé. En outre, s’ajoute la vulnérabilité de la santé des patients face à ce retard. L’exposition des données aux attaques informatiques, la faible interopérabilité entre les acteurs, n’en sont que quelques exemples.
L’analyse révèle ce retard à différentes étapes du processus. Bien qu’il existe actuellement diverses solutions permettant de faciliter ou résoudre certains de ces problèmes, ces solutions ne semblent pas être totalement opérationnelles ou exploitées par les pharmacies et autres acteurs de la santé.
De surcroît, le résultat de l’analyse démontre que les caractéristiques inhérentes à la blockchain permettent de résoudre et améliorer dans une certaine mesure les problématiques rencontrées dans le processus. Toutefois, compte tenu des infrastructures actuelles, pour déterminer si la solution est adaptée, il convient également de déterminer si la blockchain passe outre les problématiques rencontré par les autres solutions proposées. Il en résulte que la mise en place d’une infrastructure individuelle reposant sur la blockchain, amènerait probablement de nouveaux problèmes juridiques, opérationnel et organisationnelle.
L’étude conclue que la technologie blockchain est un atout qu’il convient d’exploiter. Cette recommandation est motivée par le besoin d’une infrastructure offrant des caractéristiques précise auxquelles la blockchain est en mesure de répondre. L’analyse laisse également penser que la meilleure stratégie est d’améliorer le DEP et d’y intégrer des fonctionnalités qui exploitent la blockchain. C’est ainsi que la technologie blockchain permettra d’améliorer plus ou moins directement le processus de prescription médicale, et qu’une infrastructure commune rendra possible un processus simple et numérisé à la portée de tous les acteurs.
- Language
-
- French
- Classification
- Economics
- Notes
-
- Haute école de gestion Genève
- Economie d'entreprise
- hesso:hegge
- Persistent URL
- https://sonar.ch/global/documents/328781
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